Article d'Eric Nahon sélectionné par Le Figaro. Extrait.
Alors qu’il entame une tournée aussi mondiale que triomphale, on oublie les errances bling bling fin de siècle pour se rappeler ses premiers albums. Jean-Michel Jarre, c’est ma madeleine électro à moi. Redécouvrez «les Granges Brûlées.» Etrange sensation de se dire qu’entre 1978 et 1983 on entendait beaucoup plus de musiques électroniques à la radio qu’aujourd’hui. La faute au popcorn version 1972, Deodato et bien sûr à Jean-Michel Jarre : Oxygène, Equinoxe, Rendez-Vous ou les Chants magnétiques ont bercé une partie de mon enfance au même titre que Claude François, Joan Baez, Casimir ou Goldorak.
Je regardais la grande pochette du vinyle des Chants Magnétiques et j’étais fasciné par cet œil bleu et par le jeu de mot (j’avais 6 ans en 1981, hein, on se calme avant de se moquer…).Plus tard, j’ai découvert Oxygène IV, son clip rempli de Pingouins et sa pochette anxiogène. Lire la suite.